Quelle décadence !

L’oisiveté, les bières, les mauvais vins et la connerie sont sources de vices et de violence non contrôlée.
Nous en avons la preuve ce vendredi 18 janvier 2020.
Les médias habitués à mettre sur le même plan trente mille morts et la blessure du gardien d’une équipe de foot, n’ont pas noté la montée de la violence et de la démesure.
Ils ne font pas de différence entre le saccage de la préfecture du Puy en Velay et le saccage de la permanence d’un syndicat qui réfléchit et de ce fait, pense différemment.
La préfecture, c’est le symbole de l’Etat. Si on est contestataire, c’est logique. Cela ne veut pas dire que j’approuve, je suis contre la violence quelle qu’elle soit.
Le siège d’un syndicat qui ne pense pas de la même façon, c’est de l’impérialisme, de l’autoritarisme, du fascisme.
Quant à s’en prendre en direct à la personne du président de la République, c’est en dessous de tout. Cela ne veut pas dire on n’en peut plus, ça veut dire on ne respecte ni rien ni personne qui pense autrement que ce qu’on nous a soufflé de penser.
Qui se cache derrière de tels actes ? Pour les journalistes, ce serait une enquête plus intéressante que de chercher qui n’a pas payé ses impôts.
Pour les grévistes, Il est temps de retourner au travail, ça les occupera intelligemment.
Je ne pourrai pas le contrôler mais j’espère ne pas payer pour ces enragés qui n’ont que des courants d’air dans la tête.