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A propos des agriculteurs A propos des agriculteurs

mardi 24 juin 2014 par Elisabeth

Il y a 2 messages en réponse à cet article.

Ce qu’ils disent quand on les interroge, c’est qu’ils en ont assez des normes qui s’accumulent et des différences d’un pays à l’autre de la communauté européenne. On peut l’entendre. Pourquoi y a t-il deux poids deux mesures ? On peut comprendre leur exaspération si les normes sont astreignantes et multiples.
Cependant, qu’ils ne comprennent pas les dangers de pulvériser des pesticides près d’une école, me dépasse. S’ils ont tant d’inconscience, on peut s’interroger sur les abus qu’ils peuvent commettre en catimini.
Ils ont déjà la réputation d’être toujours mécontents même quand ça va bien. Après de tels propos et tant de gâchis de fruits et légumes jetés sur la chaussée, peuvent ils être soutenus ? Les camions qu’ils vident sont des intermédiaires et non des responsables.
Il est regrettable qu’une juste revendication tourne à l’excès.


Messages

  • Je ne suis que trop d’accord avec toi. C’est vrai qu’il y a trop de réglementation mais il y en aurait moins si nos comportements n’étaient pas si délirants parfois. Réglementer pour empêcher de faire n’importe quoi est plutôt une bonne chose, et c’est le cas en ce qui concerne l’utilisation intensive des pesticides, cela devient inquiétant, en revanche, lorsqu’il s’agit d’empêcher de faire, tout simplement, au nom du principe de précaution, mis à toutes les sauces.

    • Je pense également que s’il y a trop de réglementation, c’est que certains agriculteurs doivent interpréter les textes comme cela les arrange et quand on arrive à l’abus, il faut légiférer. Ils ont aussi tendance à voir le trop c’est trop quand cela vient de Bruxelles ou de Paris et pas quand cela vient de leur part. S’il est vrai qu’il y a deux poids deux mesures entre les pays de la communauté, ce n’est pas normal. Est-ce vrai ? je n’en sais pas assez sur les droits et devoirs des agriculteurs. J’ai quitté mes sabots depuis longtemps même si je passe souvent par la Lorraine.
      Il me semble qu’on ne peut pas faire de l’intensif sans pesticides et que le choix doit porter sur ça. Que veut on ? Il faut légiférer sur l’emploi des pesticides mais laisser le choix aux petites exploitations de ne pas en employer sans pour autant envoyer les réfractaires en prison.

    Répondre au message 46 du 25 juin 2014, 15:03, par Annick


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