Les femmes qui lisent sont dangereuses. Séance du 2 mars.

A nouveau, "l’Art de perdre" mais la présentation est différente. La veille, Christiane découvrait une situation, ce matin, l’analyse de Marie Noëlle est celle de quelqu’un qui a vécu en Algérie, peu de temps après la guerre d’indépendance.
De l’Algérie, nous passons à la Chine avec " passagère du silence" de Fabienne Verdier et la calligraphie chinoise. Puis nous arrivons en Syrie avec " les passeurs de livres de Daraya", reportage de Delphine Minoui sur une bibliothèque créée clandestinement dans une cave en Syrie malgré les bombes.
"Seuls les poissons morts suivent le courant" raconte l’expérience d’Alice Gautreau, sage-femme à Médecins sans frontières, sur l’Aquarius. Margaux Duquesne, qui a participé à la rédaction du livre a vécu plusieurs mois sur l’Aquarius avec Alice Gautreau.
Racontant la même histoire, " Eldorado" de Laurent Gaudé nous rappelle que la situation n’a pas changé, son roman de 2006 est toujours d’actualité. Nous pensons aux difficultés de ces migrants mais nous n’imaginons pas leurs rêves perdus.
Myriam a partagé ses recherches sur les béguines, ces femmes qui vivent depuis le Moyen-Age, en communauté mais libres. Cependant il existe encore des béguinages à notre époque et ne pourrait ils pas être une idée pour le troisième âge ?

danger lectures.

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