16 novembre 2014, 15:24, par Jean-François (message 99)
Salut Elisabeth,
La force publique n’est pas toujours là où on croit, ainsi qu’en atteste la fronde des bonnets rouges ou la grogne des camionneurs, au mépris de la démocratie. Il est vrai que la force "légitime" tourne parfois au drame, comme au barrage de Sivens. Mais aussi, que sait-on de la réalité des affrontements, quand les seules images diffusées sont celles des manifestants et que les journalistes les acceptent sans regard critique (le problème serait le même avec des images prises par la gendarmerie) ? C’est comme les images des meetings de Sarko, fournies "clés en mains" par l’UMP... Voilà d’ailleurs une bonne explication des dépassements de frais de campagnes !
Mais revenons à l’origine des langues. Ce n’est pas un langage de persuasion que j’attends de notre président, mais un langage de pédagogie, par lequel il nous expliquerait (entre autres) les avantages ou limites d’une politique économique de l’offre et d’une politique de la demande, et nous donnerait les raisons de son choix.
Qui se souvient encore des "causeries au coin du feu" auxquelles s’astreignait Pierre Mendès-France ?
Salut Elisabeth,
La force publique n’est pas toujours là où on croit, ainsi qu’en atteste la fronde des bonnets rouges ou la grogne des camionneurs, au mépris de la démocratie. Il est vrai que la force "légitime" tourne parfois au drame, comme au barrage de Sivens. Mais aussi, que sait-on de la réalité des affrontements, quand les seules images diffusées sont celles des manifestants et que les journalistes les acceptent sans regard critique (le problème serait le même avec des images prises par la gendarmerie) ? C’est comme les images des meetings de Sarko, fournies "clés en mains" par l’UMP... Voilà d’ailleurs une bonne explication des dépassements de frais de campagnes !
Mais revenons à l’origine des langues. Ce n’est pas un langage de persuasion que j’attends de notre président, mais un langage de pédagogie, par lequel il nous expliquerait (entre autres) les avantages ou limites d’une politique économique de l’offre et d’une politique de la demande, et nous donnerait les raisons de son choix.
Qui se souvient encore des "causeries au coin du feu" auxquelles s’astreignait Pierre Mendès-France ?