Donc le prince charmant se révèle bien décevant au quotidien : il ronfle, ne fait pas la lessive et je parie qu’il ne s’occupe pas de la vaisselle, ne fait la cuisine qu’une fois par an pour épater les copains et n’a jamais le temps d’emmener les gosses à l’école (forcément, avec ses nobles tâches !).
Mais la princesse au petit pois ? parlons-en de celle là ! J’évoque à peine les coûts faramineux de la literie du ménage. Je sais par ailleurs qu’elle court les magasins pour s’acheter fanfreluches et colifichets, qu’elle ne supporte que les légumes bio cuits à la vapeur douce et qu’elle a exigé un carrosse à suspension renforcée pour emmener les enfants à l’école.
Bref, la vie quotidienne du couple est un long calvaire. Heureusement que certains soirs, dans un doux moment d’intimité, la princesse suggère parfois d’une voix fluette : « Et si tu enlevais le petit pois ? »...
Donc le prince charmant se révèle bien décevant au quotidien : il ronfle, ne fait pas la lessive et je parie qu’il ne s’occupe pas de la vaisselle, ne fait la cuisine qu’une fois par an pour épater les copains et n’a jamais le temps d’emmener les gosses à l’école (forcément, avec ses nobles tâches !).
Mais la princesse au petit pois ? parlons-en de celle là ! J’évoque à peine les coûts faramineux de la literie du ménage. Je sais par ailleurs qu’elle court les magasins pour s’acheter fanfreluches et colifichets, qu’elle ne supporte que les légumes bio cuits à la vapeur douce et qu’elle a exigé un carrosse à suspension renforcée pour emmener les enfants à l’école.
Bref, la vie quotidienne du couple est un long calvaire. Heureusement que certains soirs, dans un doux moment d’intimité, la princesse suggère parfois d’une voix fluette : « Et si tu enlevais le petit pois ? »...