25 mai 2014, 15:08, par Jean-François (message 34)
Sans doute, câliner, consoler,... c’est tous les jours une fête pour la mère. Mais pour l’enfant aimé, c’est la vie au quotidien, naturelle, habituelle, ce n’est pas un cadeau qu’il offre.
La fête des mères c’est autre chose, c’est un rite. Un rite né sous une mauvaise étoile, un rite dévoyé ? Peut-être, qu’importe, il est ce que l’on veut qu’il soit.
Aujourd’hui j’ai oublié, je sais que ma mère est un peu triste et je suis malheureux de la savoir triste.
Aujourd’hui j’y ai pensé, je l’ai appelée, je l’ai sentie touchée et je suis heureux de la savoir touchée...
Un rite, un petit caillou sur le chemin des jours, mais que j’aimerais encore poser.
Sans doute, câliner, consoler,... c’est tous les jours une fête pour la mère. Mais pour l’enfant aimé, c’est la vie au quotidien, naturelle, habituelle, ce n’est pas un cadeau qu’il offre.
La fête des mères c’est autre chose, c’est un rite. Un rite né sous une mauvaise étoile, un rite dévoyé ? Peut-être, qu’importe, il est ce que l’on veut qu’il soit.
Aujourd’hui j’ai oublié, je sais que ma mère est un peu triste et je suis malheureux de la savoir triste.
Aujourd’hui j’y ai pensé, je l’ai appelée, je l’ai sentie touchée et je suis heureux de la savoir touchée...
Un rite, un petit caillou sur le chemin des jours, mais que j’aimerais encore poser.