Pensées pour Jacques Chirac.

Quand un homme meurt, c’est toujours un saint.
Les hommages ont plu aujourd’hui. Il Le fallait parce que c’est effectivement une page de l’Histoire de France qui se tourne.
Il a eu le courage de la reconnaissance de la responsabilité de la France dans la déportation des Juifs sous le régime de Vichy et le vel’d’hiv.
Il S’est opposé aux Etats-Unis et aux Etats Européens dans le conflit contre l’Irak.
Toute la journée on a cité "la maison brûle". C’était clairvoyant mais qu’a t-il fait pour éteindre le feu ?
Il n’a pas dirigé la France en toute honnêteté, en laissant Juppé payer pour lui.
Nous lui avons offert sans le savoir, son château de Saran.
La famille Boulin a dû souffrir en entendant tant d’éloges.
Les Français l’aimaient parce qu’il savourait la tête de veau, la bière et les petites pommes pile poil, ils pensaient ainsi qu’il était des leurs. Erreur d’appréciation.
Il valait mieux être du peuple que dans son rayon politique. C’était un loup.