Carte postale de Gap

Après cinq heures de train, on arrive enfin à Gap.
C’est la capitale des Hautes Alpes mais elle ressemble à un village.
Elle évolue, certes, je m’y retrouve quand même.
Ce qui ne change pas, c’est l’amitié. Quel plaisir de retrouver les amis comme si on les avait vus la veille, semblablement au temps où j’y habitais.
Après avoir bien mangé, bien ri, bien escaladé des raccourcis périlleux, je n’ai pas eu le temps d’écrire.
Retour à Lyon. Je vais reprendre le rythme pour les chroniques et autres articles.

gap