Vingt jours après. Vingt jours après.

samedi 28 mai 2022 par Elisabeth

vingt jours après, ce n’est pas comme vingt ans après de Dumas.
Pourtant les choses ont changé.
On ose rappeler à Monsieur Mélenchon qu’il n’aura peut-être pas la majorité et qu’il ne sera pas premier ministre. Ce n’est pas une union de la gauche, c’est une union mercantile entre la gauche et les insoumis.
La première ministre est de gauche. Ce n’est pas comme disent les médias un clin d’oeil à Mélenchon, c’est une réponse claire qu’il n’a pas sa place. comme par le passé, il va s’opposer à toute décision, par rancoeur.
A l’extrême droite on ose critiquer une valeur intellectuelle à l’Education Nationale, eux qui ne lui arrivent pas à la cheville. Il est trop intelligent pour eux, ils ne comprennent pas ce qu’il dit.
Christian Jacob, à droite recommence le jeu de valérie Pécresse, celui qui l’a fait perdre.
Dire qu’Emmanuel Macron n’a rien fait pendant cinq ans, alors qu’il a osé des chantiers que eux les LR, UMP, et autres n’ont pas abordé en quarante ans, et ce pendant des crises qu’ils n’ont pas eu à combattre.
Les dégats du plastic, la pollution des usines, les gaz à effets de serre...la fermeture des lits à l’hôpital, la fermeture d’hôpitaux, la suppression de postes....ON en parle depuis plus de quarante ans. Le plus grave, la suppression de la formation des enseignants par Sarkozi. Avec un tel bilan, on peut critiquer.
François Hollande essaie de "remonter" le PS que Faure a vendu, c’est très courageux, mais un peu tard peut-être. On verra dans cinq ans. C’est peut-être une résurrection.
Conclusion : comment les électeurs peuvent ils s’y retrouver ? comment avoir encore la foi ?



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