Une étrange semaine historique.

Une semaine de grands départs.
Une semaine de pages qui se tournent dans le grand livre des destins.
Cela a commencé la semaine précédente avec l’élimination de Nicolas Sarkozy.
Dimanche dernier, élimination d’Alain Juppé.
Jeudi, François Hollande annonce avec dignité, qu’il ne se présentera pas aux élections présidentielles de mai 2017.
Ceux qui lui étaient restés fidèles et qui ont lutté pendant cinq ans contre le "Hollande bashing" sont abasourdis par la nouvelle.
On accuse les ministres qui l’ont poussé vers la sortie mais les médias, je l’espère font leur mea culpa.
Que nous reste t-il, nous les socialistes de la première heure de l’union de la gauche ?
On ne peut pas voter pour des traitres qui ne font pas le poids, des irresponsables qui n’ont su que détruire sans reconstruire ?
Suivons Rainer Maria Rielke :
"Pour l’instant, vivez les questions. Peut-être, un jour lointain, entrerez-vous ainsi, peu à peu, sans l’avoir remarqué, à l’intérieur de la réponse."