8 mai 2017. 8 mai 2017.

lundi 8 mai 2017 par Elisabeth

Un 8 mai comme on n’en avait jamais vu.
De la dignité, de la joie contenue parce que le plus dur reste à faire.
Pour la première fois dans l’histoire de la Ve République, ce n’étaient pas deux frères ennemis qui déposaient la gerbe de fleurs sous l’arc de triomphe devant la flamme du soldat inconnu. Deux amis. On a dit un père et son fils spirituel émancipé.
Une très belle cérémonie qui redonnait les espoirs de 1981, qui allégeait la nostalgie du président sortant et celle de ses soutiens.
Un 8 mai extra-ordinaire aux lendemains d’une élection où la démocratie a triomphé de la haine et de la xénophobie.
La France a repris ses lettres de noblesse pour elle-même et face au monde entier.



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