Promettre et gouverner ne s'accordent pas toujours. Promettre et gouverner ne s’accordent pas toujours.

mercredi 19 juillet 2017 par Elisabeth

Au lieu de divulguer le venin de la mini opposition, il faudrait peut-être expliquer un certain nombre de choses.
La première, c’est qu’Emmanuel Macron ne veut pas de la cacophonie du gouvernement précédent. Pas de frondeurs. On peut le comprendre.
La seconde, c’est qu’il a instauré un paysage politique nouveau avec des élus qui s’accrochent aux vieilles traditions et aux vieux modèles. Il doit faire preuve d’autorité pour mettre en place son nouveau système.
La troisième, c’est qu’il est jeune et qu’il doit s’affirmer face aux éléphants, aux tigres et aux renards.
La quatrième, c’est qu’il ne faut pas confondre ministre nommé par le président et député élu par le peuple.
Il faut rester vigilant parce qu’il est très autoritaire mais quand il s’agissait de vieux barbons gâteux ou de piles électriques qui ont ruiné le pays par leur incompétence et leur malhonnêteté, personne ne bronchait. Alors, laissons le président élu faire son boulot.
La difficulté vient du fait qu’on ne peut faire confiance ni à la gauche aigrie et revancharde ni aux extrêmes qui sont contre de toutes façons sans savoir de quoi il s’agit.
Les citoyens ont l’occasion de s’exprimer à la chambre des députés, qu’ils s’expriment.
De plus, il faudrait peut-être arrêter d’inviter les élus FN qui maintiennent qu’ils sont le premier parti du peuple. Avec huit députés sur quatre cent soixante-dix-sept, Je voudrais savoir quelle table de multiplication ils ont appris à l’école.



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