Hiroshima. Hiroshima.

jeudi 6 août 2015 par Elisabeth

C’était il y a soixante-dix ans de cela mais on ne peut pas oublier.
On ne peut pas oublier le geste fou de celui qui a appuyé sur le bouton. Savait-il ?
On ne peut pas oublier le sarcasme des commanditaires.
Pourtant, si les Américains avaient pu passer cela sous silence, ils ne se seraient pas gênés. C’était trop énorme. Au lieu d’en faire un mea culpa, on en a fait une menace permanente.
L’irréparable ! On ne peut ni rendre des vies ni apaiser les souffrances des survivants.
De souffrance à souffrance, de guerre en guerre, Marguerite Duras a écrit un très joli roman.
"Hiroshima mon amour". Elle établit un parallèle entre des amours impossibles avec un Allemand pendant la seconde guerre mondiale et une rencontre avec un Japonais à Hiroshima après le 6 août 1945.
Bonne lecture.
Le film tiré du roman est un bon film.



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