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bilan de l’année.
vendredi 31 août 2018 par
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Contrairement aux détracteurs d’Emmanuel Macron, ( on ne peut même pas parler d’opposition, puisqu’il n’y a pas de propositions solides venues des autres partis en réponse aux lois, sauf de la contradiction.) Donc, contrairement aux détracteurs, mes regrets devant la situation actuelle ne se portent pas sur le président mais sur le manque d’analyse des Français qui se sont laissés bercer par les médias qui ne comprennent pas mais qui parlent quand même, qui répètent ce qu’on leur dit de dire, par les anciens partis amnésiques qui ont oublié toutes les erreurs commises par le passé dont le gouvernement actuel paie les frais, par les syndicats qui ont un vocabulaire si réduit qu’il se résume en trois mots : on fait grève.
Je rends hommage à la matinale de France-inter qui reçoit des historiens, des politologues et des économistes très sérieux, très compétents qui posent clairement les problèmes de la mondialisation, des changements de société, de l’Europe et ses difficultés d’exister, de la situation des partis politiques, de la montée du populisme....
Pourquoi les journaux télévisés n’en font pas autant ?
Cela ferait réfléchir les électeurs qui sauraient pourquoi et pour qui ils votent sans que ce soit "Je n’ai pas voté pour" mais "contre l’autre".
Il est regrettable que tant de gens se désintéressent de la politique de leur pays, surtout les jeunes qui suivent celui qui aboie le plus fort sans mesurer le venin de ses propos, l’aigreur d’avoir perdu les élections, l’aigreur du fiasco de ses manifestations. Qu’ils n’oublient pas qu’il a été ministre socialiste. Qu’a t-il fait quand il avait les rênes du pouvoir ?
Quant à celui qui confond le Mézenc et la Roche Solutrée, est-il sourd ? Il n’entend pas les critiques de son propre camp ? On ne peut plus appeler cela un parti.
Le summum, étant l’injonction au président de la République, de rendre l’argent. Il aime particulièrement donner les bâtons pour se faire battre.